Vue de l'île

Cette année, vacances insulaires! Comme une terre providenCIELle au milieu de l'océan du quotidien. Prendre son temps Respirer l'air vivifiant Etre libre de ses mouvements Retrouver la chaleur de coeurs-aimants Goûter ensemble à la poésie des choses simples. Merci...

Juillet se présentait sous de bons hospices. L'été s'installait. Les beaux jours invitaient à aller au parc. Terres et eaux dialoguaient de la nature en liberté.

Une fin de semaine printanière a été l'occasion de retrouver quelques coeurs-parents autour d'un copieux déjeuner dominical, dans un coin de Normandie. S'en est suivie une agréable promenade, dont j'ai rapporté des fougères replantées depuis dans mon...

Cela faisait plusieurs mois déjà que la Fée Konomia était parvenue à rompre le sortilège qui frappait l'île, conséquence de l'épidémie mondiale que rien ne parvenait à endiguer. Mais, les pouvoirs de la Fée Konomia s'amenuisaient, malgré les contraintes...

Il est un parc, dans l'île-capitale qui fait tant honneur à la tolérance du Roi Martin que, malgré les immeubles qui le bordent, les astres, la faune et la flore sont à leur aise. Ils sont pourtant nombreux à se déployer tels des origamis de béton et...

Femme-accueil Femme-forêt Femme-parole Femme-guérisseuse Femme-réconciliation Femme-soeur Femme-reliance Femme-douceur Femme-tisserande Femme-coeur Femme-sortilège Femme-soin Femme-liesse Femme-responsabilité Femme-conscience Femme-mouvement Femme-expressivité...

Recette des jours heureux : Sélectionnez un dimanche de juin. Dans un joli jardin, de taille moyenne, garni de quelques tables, de chaises, fauteuils, balancelles et coussins, mélangez une joyeuse compagnie de coeurs-amis d'horizons divers. Saupoudrez...

Le printemps était bien avancé lorsque la Fée Konomia décida de libérer la population de l'île de sa mystérieuse immobilité, malgré l'absence d'andidote à l'Epidémie Mondiale. C'est ainsi, qu'un soir, le Marcheur Suprême l'annonça à sa population. Ce...

Les fées tardaient à rompre le sortilège qui avait anesthésié l'île. L'Epidémie Mondiale continuait à sévir. Cela faisait maintenant plus de deux mois que l'homme et la femme arpentaient leur quartier pour se dégourdir les jambes ou qu'ils rêvaient intérieurement...

Quand l'espace se restreint, il reste encore les yeux au ciel pour s'évader et accéder à la lumière. ... A suivre... (article Rayons et lignes) Si vous avez manquez l'épisode précédent, voir Voyages intérieurs