Retour à Palmyre
ll y a eu l'enfance avec de longues vacances en bord d'océan. La liberté, l'insouciance, la joie, les jeux y régnaient en maîtres.
Un jour de cette enfance, nous eûmes la chance d'aller à la Palmyre. Moins ancienne et historique que la cité syrienne, cette terre-là rassemble nombre d'espèces animales en quasi liberté.
C'est avec enthousiasme que j'ai redécouvert cet endroit, en compagnie de mon homme, mon joli-garçon et Wil qui s'était joint à nous pour l'occasion. Ce fut avec un oeil neuf, plus graphique, poétique, truculent ou parfois inquiétant que je m'y promenais cette fois là.
Une belle intensité que de pénétrer dans l'espace de ces beaux oiseaux rouges!
Une autre plus terrible que d'être témoins, involontaires et impuissants, d'un hippopotame croquant un bébé canard provoquant effroi et incrédulité !!
De loups en tortues, en passant par élé-flamants, crocos et marsupiaux, l'étonnement devant tant de diversité est infini. Seul, le roi des animaux reste placide.